
Le groupe Prayon, installé à Engis, va fournir à la Chine un des composants chimiques qui servira à fabriquer des batteries rechargeables pour véhicules électriques. Un enjeu de taille pour la Chine dans son combat contre la pollution à laquelle elle doit faire face. Chez nous, cela représente un investissement de l'ordre de 16 millions d'euros et seize emplois seront créés.
Prayon, leader mondial dans le secteur des phosphates, a signé un contrat d’approvisionnement de 5 ans, renouvelable, avec la société chinoise Pulead, un des géants du secteur. Le groupe va construire pour ce faire une nouvelle unité de production de phosphate de fer en région liégeoise.
L’accord porte sur la production de 2.500 tonnes de phosphates de fer par an. Celui-ci sera ajouté en Chine au lithium qui compose les batteries des bus électriques. S’agissant d’un produit de grande pureté, il gonflera le chiffre d’affaires de Prayon, qui était de 709 millions d’euros en 2015.
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